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étudiante japonaise
Inscrit le: 17 Juil 2008 Messages: 42
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Posté le: 18 07 2008, 21:07 Sujet du message: Darfour |
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Avec sa mise en cause, lundi 14 juillet, par la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes commis au Darfour, voilà le président soudanais, Omar Al-Bachir, confronté à l'épreuve la plus difficile d'une existence sortie du rang. Quel chemin parcouru depuis sa naissance en 1944 dans une famille de paysans pauvres du nord de Khartoum ! En guise de capital, Omar Al-Bachir ne possède alors que son appartenance à l'une des trois tribus qui monopolisent le pouvoir au Soudan depuis l'indépendance. Il est entré tôt dans l'armée, y a gravi les échelons sans éclat, a complété sa formation de parachutiste en Egypte, prenant part à la guerre contre Israël en 1973, avant de combattre sans gloire, de retour au Soudan, la rébellion sudiste. Vers la fin des années 1980, ce n'est qu'un officier supérieur anonyme, à peine remarquable par sa piété.
Zoom Khartoum se mobilise avant l'inculpation de son président
Les faits Le Soudan menace de réagir violemment à l'inculpation
Les faits Le président sudanais menacé d'une accusation de génocide
Eclairage Une décision qui risque d'embraser la région
Khartoum rejette la demande d'inculpation de la CPIQuelques heures après l'annonce du procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, qui a demandé l'arrestation d'Omar Al-Bachir pour "génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre au Darfour", le Soudan a fait savoir, lundi, qu'il rejetait cette demande d'inculpation.
"Maintenant nous sommes contre la CPI et nous rejetons toute décision de la CPI", a affirmé un porte-parole du gouvernement soudanais."Si la CPI transmet l'affaire à l'ONU, alors nous aurons une nouvelle réaction", a-t-il ajouté, sans plus de précisions.
L'ONU a relevé le niveau d'alerte pour son personnel travaillant au Darfour, notamment au sein de la force mixte ONU-Union africaine (Minuad) chargée du maintien de la paix, et des ambassades occidentales ont recommandé à leurs ressortissants de limiter leurs déplacements au Soudan, craignant le déclenchement de violences.
–(
Puis vient un matin, avant l'aube, le 30 juin 1989. Le régime parlementaire soudanais, à bout de souffle, s'effondre lorsque des unités de l'armée prennent l'aéroport, le palais présidentiel et bloquent les rues de Khartoum. Un groupe de quinze officiers vient de prendre le pouvoir, avec le soutien décisif de cellules islamistes. A la tête de la junte, on découvre Omar Al-Bachir, arrivé quelques jours plus tôt dans la capitale avec 175 hommes.
Pourquoi lui? "Il avait l'avantage d'être un militaire, alors que l'armée était jugée hostile aux islamistes, mais surtout d'être considéré comme un homme très limité intellectuellement, et par conséquent inoffensif pour ceux qui tiraient les ficelles du coup d'Etat",
Les premiers temps, il est impossible de déterminer quelles mains tiennent le pouvoir. Derrière la junte militaire, un parti, le Front national islamique (NIF), tire les ficelles. Hassan Al-Tourabi, le cerveau de la coalition islamiste à l'œuvre, tient à avancer masqué. Après le putsch, le "cheikh" Turabi est arrêté pour sauver les apparences. A sa sortie de prison, il s'installe dans son rôle d'éminence grise, au milieu d'âpres luttes entre factions, qui s'arrachent des pans du pouvoir.
D'entrée, Omar Al-Bachir, l'homme de paille, prétend jouer à l'homme de fer. Quelques jours après le coup d'Etat, il prend la parole dans un meeting, Coran dans une main, Kalachnikov dans l'autre : "Toute personne qui trahit la patrie ne bénéficie pas du droit de vivre." Principe aussitôt mis en application. En avril 1990, 28 officiers sont exécutés. D'autres suivront, alors que se multiplient purges, arrestations, chambres de tortures secrètes, amputations, flagellations. Au Sud Soudan, la sale guerre contre la rébellion sudiste s'amplifie, avec l'organisation de forces paramilitaires, les Forces de défense populaires, et des milices recrutées au sein des tribus arabes, qui vont laisser un sillon de feu et d'abomination dans les villages.
A Khartoum, Hassan Al-Turabi, maître de l'ombre, tisse des paradoxes soyeux, émaille ses discours de délicates allusions au Coran ou aux hadith (dits du Prophète), et met sur pied une internationale islamiste qui ratisse large. S'installent au Soudan une multitude de mouvements à vocation islamo-révolutionnaire, certains résolus à emprunter la voie terroriste. L'un est dirigé par un certain Oussama Ben Laden, qui ouvre des camps d'entraînement, des entreprises, et se fait escroquer par le régime soudanais. Il sera discrètement chassé en 1996 à la demande des Etats-Unis lorsque le Soudan tente de se débarrasser de son étiquette d'Etat voyou.
Celui-ci, justement, attend son heure pour se débarrasser du président Bachir, que Khartoum appelle pour s'en moquer "l'homme terrible", et qu'une pichenette du "cheikh" semble pouvoir renvoyer à son destin obscur. Lorsque Turabi croit venu le moment de s'emparer le pouvoir, en 1999, il tombe de haut. Proclamation de l'état d'urgence, chars dans les rues, arrestation du "cheikh", Omar Al-Bachir frappe. Turabi écarté, Bachir n'est pas pour autant le maître du pouvoir. Ses ex-fidèles, des étoiles de la galaxie islamiste soudanaise, ont appuyé la mise à mort politique du "cheikh". Ils entament aussitôt une lutte sourde entre factions, autour du point aveugle constitué par le président Bachir.
Les temps ont changé. L'argent du pétrole coule à flots. Khartoum se hérisse de grues. Le Soudan plonge dans l'une des contradictions dont le pays est familier. D'un côté, prévaut encore, officiellement, une ligne islamiste dure, anti-occidentale. De l'autre, on essaie de renouer des liens avec les Etats-Unis. En faisant la paix avec le Sud, le pouvoir de Khartoum espère la réhabilitation. C'est alors qu'éclate dans la région du Darfour, à l'ouest, une nouvelle rébellion. On applique les recettes expérimentées au Sud pendant plus de vingt ans.
Des milices sont recrutées pour écraser la population. Ils se font connaître sous le nom de janjawids. Du gouvernement qui n'est souvent qu'un paravent aux conseillers spéciaux qui contrôlent tout, en passant par le pouvoir parallèle des services de sécurité, tout un système s'engage dans la répression au Darfour. Bachir mène-t-il le ballet des atrocités ou se contente-t-il de l'encourager? Le procureur de la CPI penche pour la première hypothèse. "Il a été l'homme qui a symbolisé le régime. Il va payer pour le régime. |
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fransoax
Inscrit le: 19 Juin 2006 Messages: 1375
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Posté le: 18 07 2008, 22:30 Sujet du message: |
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Oui, c'est un raccourci c'est sûr, mais comment mettre la main sur tous les responsables des atrocités pour les juger ? Impossible.
Je ne vois pas de solution concernant le Soudan, pas plus qu'en ce qui concerne Israëliens et Palestiniens, Chinois et Tibétains, la liste est trop longue. Bravo en tout cas pour cet exposé, j'ai appris plein de trucs. En revanche, il y a quelque chose qui me chiffonne :
Comment un type comme Bachir, militaire sans envergure qui n'avait à sa solde au départ que 175 hommes, a t-il pu prendre finalement la tête d'un coup d'Etat militaire ? Même s'il n'était qu'un homme de paille, il a bien fallu qu'il ait une influence forte sur l'armée pour en arriver là. A moins qu'il n'ait été soutenu financièrement par une puissance étrangère... Tu parlais de pétrole, ça me semble être une piste intéressante, les états se bagarrent très souvent pour des motifs économiques. |
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Berdoune2000
Inscrit le: 06 Fév 2005 Messages: 2149 Localisation: Dans les sphères de mon délire
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Posté le: 18 07 2008, 22:47 Sujet du message: |
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Ce sont de pétroliers chinois qui sont installés au Darfour et en Éthiopie |
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étudiante japonaise
Inscrit le: 17 Juil 2008 Messages: 42
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Posté le: 18 07 2008, 23:10 Sujet du message: |
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de toute façon, sans vouloir faire d'amalgame, on parlait encore il y a quelques années de FrancAfrique, a l'heure actuelle on parle de plus en plus de ChinAfrique, ce ne sont que des termes que je trouve malgré tout très révélateurs... la Chine est un pays en expansion, c'est un fait établie pourtant, elle ne dispose pas (a ma connaissance, je n'ai pas la science infuse non plus donc corrigez moi si je me trompe) de matières premières type pétrole ni même charbon (qui revient en force ces derniers temps), il faut bien qu'il les trouve ailleurs. pour caricaturé, l'occident se fournit au Moyen Orient, la Chine met la main sur l'Afrique, un continent certes déjà exploité par nos chers pays mais qui dispose encore de nombreux gisement non exploités, il y avait donc un Fillon a prendre...
bref ce ne sont que quelques mots qui parle d'une réalité peut être trop compliqué pour moi, mais au delà de mon imperfection, je m'enorgueillit du stricte minimum qui est au moins de m'y intéresser et de prendre la peine de chercher... |
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fransoax
Inscrit le: 19 Juin 2006 Messages: 1375
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Posté le: 18 07 2008, 23:21 Sujet du message: |
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Non non, sans parler d'amalgame, ce que tu dis est juste : la Chine n'a pas de matière première. Mon ancien coloc chinois récupérait du cuivre usagé en France pour le revendre au prix fort en Chine (cette dernière n'en a pas un gramme). C'est vrai aussi pour le pétrole et le charbon, je pense.
Par contre, ils ont des femmes : si elles étaient moins farouches, racistes et "intouchables" (je tiens aux guillemets"), ils pourraient les vendre. |
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Berdoune2000
Inscrit le: 06 Fév 2005 Messages: 2149 Localisation: Dans les sphères de mon délire
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Posté le: 18 07 2008, 23:45 Sujet du message: |
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alors je serai client pour avoir un tite bonne à la maison en échange je la nourri blanchi (pas de dégradation sexuelle, c'est pas mon genre), et ne me traitez d'esclavagiste car elle serait plus heureuse sous mon toit à faire la bonniche qu'à bosser 15 heures par jour en rizière |
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fransoax
Inscrit le: 19 Juin 2006 Messages: 1375
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Posté le: 18 07 2008, 23:54 Sujet du message: |
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Ben moi franchement, je ne vois pas en quoi ma façon de faire des galipettes pourrait dégrader qui que ce soit, donc si elle veut bien, pas de souci, et en échange on partage le ménage. Mais je préfère quand même ne pas avoir à payer, c'est plus épanouissant pour le corps et l'esprit. |
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étudiante japonaise
Inscrit le: 17 Juil 2008 Messages: 42
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Posté le: 19 07 2008, 14:00 Sujet du message: |
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a l'heure actuelle c'est en République Dominicaine qu'il faut aller les chercher si tu veux une femme : elles fuient en masse Haïti (il y a quelques années le pays le plus pauvre du monde, je ne sais pas maintenant) vers la République Dominicaine, plus développé notamment grâce au tourisme. avec ces fuites de femmes et d'enfants se développe maintenant dans ce pays un tourisme sexuel qui tend a concurrencer certains pays d'Asie... |
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fransoax
Inscrit le: 19 Juin 2006 Messages: 1375
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Posté le: 19 07 2008, 21:36 Sujet du message: |
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Ouais... A long terme, j'y crois pas trop : même traitée comme un être humain, une femme esclave reste une femme esclave
Je voudrais seulement faire la sieste en fin d'après-midi dans un hamac au pied d'un temple bouddhiste.. Le soir, j'irais manger un riz sauce Chop Suey dans le centre de la ville de Hué, avant de rejoindre des amis et de finir la soirée dans les bras d'une Vietnamienne consentante. Le lendemain, on irait se balader ensemble main dans la main en parlant de tout et de rien. La vie, quoi.
J'ai eu un aperçu de ce bonheur simple et authentique, en France. ça donne envie d'y retourner. |
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étudiante japonaise
Inscrit le: 17 Juil 2008 Messages: 42
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Posté le: 19 07 2008, 22:21 Sujet du message: |
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le bonheur pur et simple, c'est beau...mais tellement rare |
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fransoax
Inscrit le: 19 Juin 2006 Messages: 1375
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Posté le: 19 07 2008, 22:54 Sujet du message: |
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Le bonheur n'est jamais pur, d'ailleurs la pureté n'existe pas.
Moi, je ne suis peut-être pas heureux à 100 %, mais je sais encore savourer les bons moments même s'ils ne durent pas, et ils ne sont pas rares. C'est peut-être parce que je m'émerveille encore de trucs qui ne font plus bander les gens de mon âge depuis longtemps : un bon morceau de musique, un chouette coucher de soleil, la longévité inlassable d'un chêne, le rire d'un enfant, et des tas de choses comme ça.
Le bonheur, c'est peut-être à l'intérieur de nous-mêmes qu'il faut aller le chercher, sans désespérer du monde ni des gens. |
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étudiante japonaise
Inscrit le: 17 Juil 2008 Messages: 42
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Posté le: 20 07 2008, 02:30 Sujet du message: |
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fransoax a écrit: | je sais encore savourer les bons moments même s'ils ne durent pas, et ils ne sont pas rares. C'est peut-être parce que je m'émerveille encore de trucs qui ne font plus bander les gens de mon âge depuis longtemps. |
si ce ne sont pas les bons moments qui sont rares, ce sont peut être les gens comme toi alors... |
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Berdoune2000
Inscrit le: 06 Fév 2005 Messages: 2149 Localisation: Dans les sphères de mon délire
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Posté le: 20 07 2008, 12:52 Sujet du message: |
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étudiante japonaise a écrit: | si ce ne sont pas les bons moments qui sont rares, ce sont peut être les gens comme toi alors... |
C'est beau comme du Candy |
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étudiante japonaise
Inscrit le: 17 Juil 2008 Messages: 42
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Posté le: 20 07 2008, 17:32 Sujet du message: |
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mais c'est toute mon enfance !! |
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fransoax
Inscrit le: 19 Juin 2006 Messages: 1375
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Posté le: 20 07 2008, 21:53 Sujet du message: |
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Candy, c'est le genre de trucs qui doit bien fonctionner en Chine, ça. Ils aiment bien les trucs cucul-la-praline avec des méchants et des gentils ...
...Et pour sortir des moments difficiles,
Avoir des amis c'est très utile,
Un peu d'astuce, d'espièglerie,
C'est la vie de Candy. |
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